Sunday, April 27, 2014

Árbol Baobab

Árbol Baobab

Mejor conocido como “árbol botella”, se encuentra principalmente en África cental. El diámetro de su tronco llega a superar los 11 m de longitud y puede almacenar hasta 100 mil litros de agua.



L’affaire Dreyfus

 L’Île des Pingouins est un roman d'Anatole France paru en 1908.

Il s'agit d'une histoire parodique de la France constituée de nombreuses allusions à l'histoire contemporaine. Le livre VI (Les Temps modernes) relate l'affaire Pyrot, qui n'est autre que l'affaire Dreyfus :
« — Plus j'y songe et plus je me persuade que Pyrot a volé ces quatre-vingt mille bottes de foin. Et où je le reconnais, c'est qu'il les a dérobées pour les vendre à vil prix aux Marsouins, nos ennemis acharnés. Trahison infâme !
— C'est certain, répondit Panther ; il ne reste plus qu'à le prouver. »



L’affaire Dreyfus est un conflit social et politique majeur de la Troisième République survenu à la fin du xixe siècle, autour de l’accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus, Français d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité.
La condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus – pour avoir prétendument livré des documents secrets français à l’Empire allemand – était une erreur judiciaire2,3 sur fond d’espionnage et d’antisémitisme, dans un contexte social particulièrement propice à l’antisémitisme, et à la haine de l’Empire allemand à la suite de son annexion de l’Alsace et d’une partie de la Lorraine en 1871. L'affaire rencontre au départ un écho limité, avant qu'en 1898 l'acquittement du véritable coupable et la publication d'un plaidoyer dreyfusard par Émile Zola, J'accuse…!, provoquent une succession de crises politiques et sociales uniques en France. À son paroxysme en 1899, l’affaire révéla les clivages de la France de la Troisième République, où l’opposition entre le camp des dreyfusards et celui des anti-dreyfusards suscita de très violentes polémiques nationalistes et antisémites, diffusées par une presse influente. Elle ne s’acheva véritablement qu’en 1906, par un arrêt de laCour de cassation qui innocenta et réhabilita définitivement Dreyfus.
Cette affaire est souvent considérée comme le symbole moderne et universel de l’iniquité4 au nom de la raison d’État, et reste l’un des exemples les plus marquants d’une erreur judiciaire difficilement réparée, avec un rôle majeur joué par la presse et l’opinion publique.
En 2013, le site L'affaire Dreyfus a réalisé, en collaboration avec le Service historique de la Défense, la publication du dossier secret de l'affaire Dreyfus.

À la fin de l'année 1894, le capitaine de l'armée française Alfred Dreyfus, polytechnicien, juif d'origine alsacienne, accusé d'avoir livré aux Allemands des documents secrets, est condamné au bagne à perpétuité pour trahison et déporté sur l'île du Diable. À cette date, l'opinion comme la classe politique française est unanimement défavorable à Dreyfus.
Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en  que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'état-major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord.
Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en  le respecté vice-président du Sénat Auguste Scheurer-Kestner qui fait savoir, trois mois plus tard, qu'il a acquis la conviction de l'innocence de Dreyfus, et qui en persuade également Georges Clemenceau, ancien député et alors simple journaliste. Le même mois, Mathieu Dreyfus porte plainte auprès du ministère de la Guerre contre Walsin Esterházy. Alors que le cercle des dreyfusards s'élargit, deux événements quasi simultanés donnent en  une dimension nationale à l'affaire : Esterházy est acquitté, sous les acclamations des conservateurs et des nationalistes ; Émile Zola publie « J'accuse…! », plaidoyer dreyfusard qui entraîne le ralliement de nombreux intellectuels. Un processus de scission de la France est entamé, qui se prolonge jusqu’à la fin du siècle. Des émeutes antisémites éclatent dans plus de vingt villes françaises. On dénombre plusieurs morts à Alger. La République est ébranlée, certains la voient même en péril, ce qui incite à en finir avec l’affaire Dreyfus pour ramener le calme.
Malgré les menées de l'armée pour étouffer cette affaire, le premier jugement condamnant Dreyfus est cassé par la Cour de cassation au terme d'une enquête minutieuse, et un nouveau conseil de guerre a lieu à Rennes en 1899. Contre toute attente, Dreyfus est condamné une nouvelle fois, à dix ans de détention, avec, toutefois, circonstances atténuantes. Épuisé par sa déportation de quatre longues années, Dreyfus accepte la grâce présidentielle, accordée par le président Émile Loubet. Ce n'est qu'en 1906 que son innocence est officiellement reconnue au travers d'un arrêt sans renvoi de la Cour de cassation5. Réhabilité, le capitaine Dreyfus est réintégré dans l'armée au grade decommandant et participe à la Première Guerre mondiale. Il meurt en 1935.
Les conséquences de cette affaire sont innombrables et touchent tous les aspects de la vie publique française : politique (elle consacre le triomphe de la IIIe République, dont elle devient un mythe fondateur6 tout en renouvelant le nationalisme), militaire, religieux (elle ralentit la réforme du catholicisme français, ainsi que l'intégration républicaine des catholiques), social, juridique, médiatique, diplomatique et culturel (c'est à l'occasion de l'affaire que le terme d'intellectuel est forgé). L'affaire a également un impact international sur le mouvement sioniste au travers d'un de ses pères fondateurs : Théodore Herzl et de par l'émoi que ses manifestations antisémites vont provoquer au sein des communautés juives d'Europe centrale et occidentale.

Sunday, April 13, 2014

words


9/11



Ορφικά





Orphism (more rarely Orphicism) (Ancient Greek: Ὀρφικά) is the name given to a set of religious[1] beliefs and practices originating in the ancient Greek and the Hellenistic world,[2][3][4][5] as well as by the Thracians,[6] associated with literature ascribed to the mythical poet Orpheus, who descended into Hades and returned. Orphics also revered Persephone (who annually descended into Hades for a season and then returned) and Dionysus or Bacchus (who also descended into Hades and returned). Orpheus was said to have invented the Mysteries of Dionysus.[7] Poetry containing distinctly Orphic beliefs has been traced back to the 6th century BC[8] or at least 5th century BC, and graffiti of the 5th century BC apparently refers to "Orphics".[9]
Classical sources, such as Plato, refer to "Orpheus-initiators" (Ὀρφεοτελεσταί), and associated rites, although how far "Orphic" literature in general related to these rites is not certain.[10] As in the Eleusinian mysteries, initiation into Orphic mysteries promised advantages in the afterlife.

The main elements of Orphism differed from popular ancient Greek religion in the following ways:
  • by characterizing human souls as divine and immortal but doomed to live (for a period) in a "grievous circle" of successive bodily lives through metempsychosis or the transmigration of souls.
  • by prescribing an ascetic way of life which, together with secret initiation rites, was supposed to guarantee not only eventual release from the "grievous circle" but also communion with god(s).
  • by warning of postmortem punishment for certain transgressions committed during life.
  • by being founded upon sacred writings about the origin of gods and human beings.
Compare with Christianity, Hinduism, Buddhism and Gnosticism.

The Orphic theogonies are genealogical works similar to the Theogony of Hesiod, but the details are different. They are possibly influenced by Near Eastern models. The main story is this: Dionysus (in his incarnation as Zagreus) is the son of Zeus and Persephone; Zeus gives his inheritance of the throne to the child, as Zeus is to leave due to Hera's anger over a child being born by another mother; Titans are enraged over the proclamation of attendance and under Hera's instigation decide to murder the child, Dionysus is then tricked with a mirror and children's toys by the Titans who murder and consume him. Athena saves the heart and tells Zeus of the crime who in turn hurls a thunderbolt on the Titans. The resulting soot, from which sinful mankind is born, contain the bodies of the Titans and Dionysus. The soul of man (Dionysus factor) is therefore divine, but the body (Titan factor) holds the soul in bondage. Thus it was declared that the soul returns to a host ten times, bound to the wheel of rebirth.
There are two Orphic stories of the rebirth of Dionysus, in one of which it is the heart of Dionysus that is implanted into the thigh of Zeus; the other where he has impregnated the mortal woman Semele resulting in Dionysus's literal rebirth. Many of these details differ from accounts in the classical authors. Firmicus Maternus, a Christian author, gives a different account with the book "On the Error of Profane Religions". He says that Jupiter (Zeus) originally was a (mortal) king of Crete, and Dionysos was his son. Dionysos was murdered, and cannibalized. Only his heart was salvaged by Athena. A statue of gypsum (the same substance the Titans used to disguise themselves) was then made to look like Dionysos and the heart is placed within.[12]
  • The "Protogonos Theogony", lost, composed c. 500 BC which is known through the commentary in the Derveni papyrus and references in classical authors (Empedocles and Pindar).
  • The "Eudemian Theogony", lost, composed in the 5th century BC. It is the product of a syncretic Bacchic-Kouretic cult.
  • The "Rhapsodic Theogony", lost, composed in the Hellenistic age, incorporating earlier works. It is known through summaries in later neo-Platonist authors.
  • Orphic hymns. 87 hexametric poems of a shorter length composed in the late Hellenistic or early Roman Imperial age.

ὑπογεγραμμένη

Iota subscript

From Wikipedia, the free encyclopedia

Iota subscripts in the wordᾠδῇ, ("ode", dative)
The iota subscript is a diacritic mark in the Greek alphabet shaped like a small vertical stroke or miniature iota ι placed below the letter. It can occur with the vowel letters eta η, omega ω and alpha α. It represents the former presence of an [i] offglide after the vowel, forming a so-called "long diphthong". Such diphthongs, ηι, ωι, αι (ᾱι), phonologically distinct from the corresponding normal ("short") diphthongs ει, οι, αι (ᾰι), were a feature of ancient Greek in the classical era. The offglide was lost in pronunciation during the Hellenistic period, with the result that from approximately the 1st century BC onwards the former diphthongs were no longer distinguished from the simple long vowels η, ω, ᾱ respectively.[1] During the Roman and Byzantine eras, the ι, now mute, was sometimes still written as a normal letter, but often simply left out. The iota subscript was invented as an editorial symbol marking the places where such spelling variation occurred by Byzantine philologists in the 12th century AD.[2] [3][4]
The alternative practice, of writing the mute iota as a full-sized letter ι, is known as iota adscript.

Unter falscher Flagge



Während die Amerikaner verhältnismäßig schnell mit gefälschten Beweisen zuerst Afghanistan und später den Irak angreifen, wächst der Zweifel an der offiziellen Version des 11. Septembers. Was unmittelbar nach den Anschlägen an Spekulationen im Internet kursierte, galt bisher als wilde Verschwörungstheorie. Doch die Indizien und sogar Beweise zeichnen ein deutliches Bild. Nicht islamische Terroristen, sondern einige ranghohe Militärs und Politiker der US-Regierung selbst, scheinen für die schrecklichen Anschläge verantwortlich zu sein.

Bei Verlinkung bitte Quelle angeben: http://www.NuoViso.TV

Gilgamesh

online edition of the Epic of Gilgamesh


Sunday, April 6, 2014

Greek-English Lexicon

Henry George Liddell, Robert Scott, A Greek-English Lexicon

Greek Dictionary Headword Search Results

Greek-English word-list containing about 1000 most common Greek words, so arranged as to be most easily learned and remembered(1893)

Lexilogos

http://www.perseus.tufts.edu/hopper/morph

http://www.perseus.tufts.edu/hopper/

http://greekgrammar.wikidot.com/morphological-drill

http://www.textkit.com/greek_grammar.php

http://www.textkit.com/

http://www.kalos-software.com/

https://www.teknia.com/greek

http://www.ibiblio.org/koine/

Greek Grammar
NOUNS
VERBS
CLAUSES
Cases
Voice
Mood
Tense
 
Nominative 
Vocative 
Genitive 
Dative 
Accusative
Active 
Middle 
Passive
Indicative 
Subjunctive 
Optative 
Imperative
Present 
Imperfect 
Future 
Aorist 
Perfect & PP
In General 
Conjunctions 
Conditionals 
Volitional 
The Article 
Adjectives 
Pronouns
Infinitive
 
 
Participle
Prepositions
This grammar is a compilation primarily from Wallace and Mounce below
Greek Grammar Beyond the Basics, Wallace 
A Graded Reader of Biblical Greek, Mounce 
BGreek Mailing List 
Free Bible Online Software

 

 

 

 

 

 

Introduction to Attic Greek

http://socrates.berkeley.edu/~ancgreek/ancient_greek_start.html

http://atticgreek.org/




Introduction to Attic Greek

Donald J. Mastronarde (Author)

 

Paperback, 512 pages
ISBN: 9780520275713
February 2013
Thoroughly revised and expanded, Introduction to Attic Greek, 2nd Edition gives student and instructors the most comprehensive and accessible presentation of ancient Greek available. The text features:

• Full exposure to the grammar and morphology that students will encounter in actual texts 

• Self-contained instructional chapters, with challenging, carefully tailored exercises

• Progressively more complex chapters to build the student's knowledge of declensions, tenses, and constructions by alternating emphasis on morphology and syntax

• Readings based on actual texts and include unadapted passages from Xenophon, Lysias, Plato, Aristophanes, and Thucydides.

• Concise introduction to the history of the Greek language

• Composite list of verbs with principal parts, and an appendix of all paradigms

• Greek-English and English-Greek glossaries

Additional Resources:

•Robust online supplements for teaching and learning available at atticgreek.org